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Tag: réussite
Le mystère du relationnel

Qui n’a jamais observé qu’il accordait un relationnel différent selon son interlocuteur, sans adopter un quelconque jeu de rôle. Cela se produit sans action volontaire. Comme s’il y avait un pilote automatique en nous qui décidait sans nous demander notre avis. C’est curieux, intrigant. C’est le mystère du relationnel. C’est quoi cette histoire ?

  • Bien des parents agissent différemment selon leurs enfants. Les enfants s’en rendent compte. Ils peuvent en être heureux ou en souffrir.
  • Avec certains de nos amis, nous aimons refaire le monde ; avec d’autres tout est prétexte à plaisanter, avec d’autres encore nous sommes simplement bien, sans besoin de leur dire.

Dans chacune de ces situations, nous sommes la même personne et en même temps nous ne sommes pas la même… Existe-t-il un modèle qui offre une explication de ce phénomène ? Sans explication :

  • Comment prétendre bien se connaître soi-même ?
  • Comment agir pour obtenir le meilleur relationnel avec ceux qui nous entourent ?

Nous voyons là que le relationnel contient sa part de mystère et qu’il est intéressant d’en connaître les arcanes.

 

Comment PCM fonctionne-t-il ?

Process Communication Model® ou PCM est le 1er modèle à avoir répondu aux questions ci-dessus de la manière suivante :

En chacun de nous, nous avons comme 6 personnalités. En fonction de notre interlocuteur, l’une d’elle s’active automatiquement, indépendamment de notre volonté. Il en est de même chez nos interlocuteurs. Cela éclaire les situations apparemment complexes tant qu’on ne dispose pas du décodeur Process Com.

Chacune de ces 6 personnalités a sa spirale de réussite, sa vrille de stress, ses qualités spécifiques, etc.

 

Le relationnel dans la vie

Prenons un peu de recul pour évaluer l’impact du relationnel et le rôle qu’il joue dans notre vie. Voici quelques questions avec des débuts de réponse :

  • Quel est le véhicule privilégié de la chance ?

C’est souvent quelqu’un qui nous apprécie et nous ouvre des portes ! (fruit du relationnel)

  • Qu’est-ce qui nous empoisonne le plus l’existence et consomme notre énergie ?

Les relations exécrables, les incompréhensions, les tensions, les conflits…

  • Quels sont les moments parmi les plus agréables, les plus mémorables ?

Ceux passés avec des personnes avec qui le relationnel est facile.

Ce coup de rétroviseur révèle la place omni présente du relationnel dans les différents moments de notre vie. C’est dire le rôle majeur du relationnel et le bénéfice à en tirer au quotidien en disposant d’un outil adapté. Il y a du sens à en faire une priorité ; chacun verra. Notre qualité relationnelle avec nos interlocuteurs détermine notre sensation d’avoir une vie avec du bonheur, de la chance, de la réussite, une vie agréable et bien remplie.

 

PCM et le stress

PCM aurait de multiples modèles concurrents. Regardons ce sujet. La plupart des modèles ne décrivent que des traits de caractères et s’arrêtent là. Rien, aucun outil, aucune technique ne sont proposés pour agir sur le relationnel. Ces modèles se limitent à 4 profils ce qui génère des caricatures, amusantes mais peu exploitables au quotidien.

Presque aucun modèle ne prend en compte les différentes formes de stress. Or c’est une clé. Aucun n’offre des techniques pour établir ou rétablir un relationnel. Ce sont là quelques éléments qui orientent le choix vers le modèle Process Communication. En fait, la plupart des autres modèles sont limités au développement personnel. C’est intéressant mais cela n’aide pas à améliorer son relationnel. Or c’est le relationnel qui change la vie.

Pour choisir un modèle, trouvez la description du modèle pour lequel vous hésitez et posez-vous ces questions :

  1. Est-ce que cet outil met en avant les différentes formes de stress (facteur des mauvais relationnels)
  2. Est-ce que ce modèle propose des antidotes pour baisser le stress de l’interlocuteur ?
  3. Est-ce que la finalité du modèle est d’améliorer son relationnel avec quiconque ?

Rien qu’en répondant à ces 3 questions, il ne reste que PCM.

 

Notre 3ème livre

Le côté outil concret du modèle PCM oriente le choix de sa formation. Nos 2 livres « Process Com pour les managers » et « La Process Com », se distinguent par le partage de comment on met en pratique PCM. Comme dans nos formations, nous privilégions l’expérimentation de la mise en pratique. Même si vous connaissez déjà le modèle, c’est un gain d’efficacité de participer à ces formations de mise en pratique du modèle.

Nos 2 premiers livres sont orientés « mise en pratique de PCM ». Dans ces livres Sylvie et moi nous partageons nos travaux de R&D autour de ce modèle. Ce modèle est génial mais le praticien a besoin d’outils et de techniques pour faciliter son usage. Notre trentaine de techniques sont regroupées sous le label « Process-Relationnel® ». Sans ces techniques, la plupart des participants arrivent difficilement à utiliser PCM pour leur relationnel.

Quand une relation n’est pas idéale, c’est qu’un des interlocuteurs est en stress. Pour améliorer la relation il faut 2 choses :

  • Identifié le stress spécifique de l’interlocuteur
  • Maîtrisé l’antidote du stress pour le baisser.

C’est fantastique, ça marche. Grâce à la trentaine de nos techniques (Process-Relationnel) les milliers de participants que nous avons formés savent faire. Mais il possible d’aller plus loin. C’est l’objet de notre 3ème livre.

 

Une découverte inattendue

Notre 3ème livre semble prendre une option différente de nos 2 premiers livres. Son titre « Lâchez les comportements qui vous jouent des tours » – le sous-titre, c’est (Process Communication Model en développement personnel). Qu’en est-il ?

Au cours de nos 25 ans de coaching nous avons découvert une chose surprenante : la plupart de nos travers proviennent de nos qualités. Vous avez bien lu « la plupart de nos travers proviennent de nos qualités ». Cette étonnante nouvelle est à l’opposé de ce que les spécialistes nous affirment depuis des décennies en nous invitant à travailler sur nos défauts. C’est une fantastique nouvelle car il est beaucoup plus facile d’agir sur ses qualités que sur ses défauts.

Si dans une relation, nous sommes capables de baisser le stress de notre interlocuteur et qu’en plus nous nous sommes débarrassés des travers qui polluent nos relations, nous mettons toutes les chances de notre côté pour un relationnel d’exception.

 

Convoquer la réussite

Dès la naissance un certain nombre de choses sont jouées d’avance… de par le milieu social de notre naissance, du pays, de notre potentiel, de l’hérédité, etc. Mais si nous observons ceux qui réussissent, ils ont tous un très bon relationnel, et, cela s’acquiert… S’investir dans un modèle comme PCM s’apparente à convoquer la réussite et la chance.

Christian Becquereau

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J’m’en foutiste, un modèle !

Nous avons tous, dans notre environnement, deux frères ou deux sœurs dont l’un montre un côté studieux et obtient de très bons résultats dans ses études alors que l’autre est dilettante, perçu comme un je-m’en-foutiste. Ses classements scolaires sont désespérants. C’est presque toujours le second dont la réussite est flagrante dans la vie (!) Faut-il s’en fiche dans la vie pour mieux réussir ? En tous cas, ça vaut la peine de découvrir pourquoi le j’m’en foutiste a plus de chance de réussir dans la vie.

Une aisance relationnelle d’exception

Une chose est évidente le dilettante n’est pas prisonnier du côté académique des choses, du côté intellectuel, des organisations, des règles, des interdits.  C’est secondaire mais secondaire pour privilégier quoi ? Ce choix le rend disponible. Il a du temps pour les autres et une aisance relationnelle hors du commun.

En discussion, le j’m’en foutiste est à la fois dans l’échange tout en observant ce qui se passe dans la relation. C’est comme s’il était aussi spectateur du dialogue et du comportement de l’autre. Cette particularité le prédispose à avoir un relationnel d’exception. Est-ce suffisant ?

Depuis des dizaines d’années, les experts nous serinent que la réussite est due à 80% au relationnel et à 20% à l’expertise. Au début de ma carrière ces recommandations me contrariaient car je ne voyais pas comment m’y prendre. Le dilettante d’une manière instinctive abandonne l’idée d’être très bon dans tous les domaines mais s’il a les meilleures relations avec le plus grand nombre, il sait d’instinct qu’il fera la différence.

Un fils j’m’en foutiste

Je connais bien la maman d’un jeune homme. Celle-ci se désespérait d’avoir un fils qui ne faisait aucun effort dans ses études. Ses profs s’arrachaient les cheveux, elle aussi. Rien ne motivait son garçon. Ayant la confiance de la maman, je ne cessais de lui répéter qu’elle ne devait se faire aucun souci car il réussirait. Cette intuition se basait sur son aisance relationnelle. Arrivé en âge de flirter, il s’est amouraché d’une 1ère de classe. Pour ne pas être en reste, il s’est mis à cravacher et a décroché son bac du 1er coup alors que personne n’aurait parier sur cette prouesse

Le relationnel joue en faveur ou en défaveur de toutes les étapes de la vie ; qu’il s’agisse de trouver un job ou d’avoir une promotion ou d’obtenir la coopération de quelqu’un, d’établir la confiance avec son manager ou de décrocher une commande si on est commercial. C’est aussi, la capacité d’établir d’emblée un relationnel tel que l’autre a envie de nous avoir comme ami, y compris à l’occasion d’une rencontre fortuite. Le relationnel joue dans tous les secteurs de la vie.

Par contre le j’m’en foutiste n’a pas nécessairement la compétence de résoudre un différend, d’éteindre un conflit ou de débloquer une situation. Tout talentueux qu’il soit, lui aussi a des savoir-faire à acquérir. Mais son don relationnel peut être un handicap s’il a la sensation de n’avoir de problème avec qui que ce soit. Alors il fera l’impasse de se perfectionner dans le domaine relationnel.

Acquérir le talent du j’m’enfoutiste

Si vous n’avez qu’un relationnel normal, faite comme ce jeune, cravachez pour être à son niveau relationnel et faites la différence dans tous les secteurs de votre vie. C’est possible à 3 conditions : 1/ devenir bon praticien de PCM (Process Communication Model) mais le niveau « communication » s’il est indispensable, n’est pas suffisant. 2/ il faut acquérir le niveau relationnel avec le plus grand nombre. Pour cela il faut 3/ un outil pour faire ce que fait naturellement le j’m’en foutiste : être dans l’échange et aussi en mode méta, c’est-à-dire spectateur de ce qui se passe dans la relation.

La découverte de l’outil d’identification

C’était mon 1er atelier PCM, fin 1997. Un de mes clients Daniel, directeur commercial, trouvait que sa relation avec son DG était curieuse et elle n’était pas idéale. Les participants avaient tous suivi une formation PCM avec un excellent formateur. Bien qu’ils aient tout compris, ils ne savaient pas utiliser le modèle dans leur vie courante. J’ai demandé à ce directeur commercial de me restituer les dialogues qu’il avait en mémoire. Une fois transcrits au paper board, tous les éléments PCM sautaient aux yeux : son DG n’utilisait que l’impératif (canal directif), il abusait de son prénom, tout était dans l’action, dans le « ya qu’à faut qu’on » du style autocratique. Les portes de communication de la pensée et de l’émotion étaient aux abonnés absents. La personnalité que lui présentait son dg, c’était : Promoteur. Ce fut ce que j’ai nommé mon 1er verbatim. Avec cette expérience j’ai découvert l’éclairage qu’offrait l’écriture des dialogues (verbatim) d’un interlocuteur avec qui nous voulons améliorer la relation.

Faites l’expérimentation

Faites l’essai suivant, de mémoire transcrivez 5 phrases d’un interlocuteur avec qui vous voulez un meilleur relationnel. Vous découvrirez le maximum d’éléments PCM. Vous allez identifier la personnalité de votre interlocuteur avec une grande évidence. La marge d’erreur s’en trouve considérablement réduite. C’est un facteur de succès dans la pratique de PCM. Votre pratique de PCM va faire un bond de géant, vous allez vous approcher du talent du j’m’en foutiste.

Si vous avez suivi notre formation « PCM mis en pratique » vous avez, en plus de PCM, les clés « process-relationnel », ce sera plus facile et plus efficace. Mais soyez rassuré au bout de plusieurs dialogues retranscrits (verbatim) vous serez à l’aise avec l’outil. Une fois l’identification faîte, bâtissez 3 ou 4 phrases PCM correspondantes à la personnalité de votre interlocuteur.

Etablir un relationnel magique

A votre prochaine rencontre avec votre interlocuteur vous serez dans une situation similaire au j’m’en foutiste, d’un niveau relationnel d’exception. Vous serez à la fois dans l’échange et prêt à agir, inspiré par les phrases préparées. Vous serez bluffé par l’immédiateté de l’efficacité de la mise en pratique de PCM. C’est ce que je vous souhaite

Christian Becquereau

PS : prochainement : publication de notre 3e livre chez Eyrolles.

« Lâchez les comportements qui vous jouent des tours »
(Process Communication en développement personnel)

« Rien ne remplace le relationnel »

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ATTIREZ LA CHANCE DANS VOTRE VIE

Ça peut sembler un peu fort d’affirmer qu’améliorer son relationnel attire la chance dans la vie. Pour démontrer cette affirmation, j’ai pris les actions courantes de la vie et illustré en quoi la réussite est conditionnée par le niveau relationnel. Les situations sont les suivantes : quand on veut influencer, on négocie, on échange avec son hiérarchique, on veut obtenir la coopération, quand le relationnel est à distance ou par écrit. Que faire avec ceux dont on trouve qu’ils ont une sale tête, pour élargir son réseau, quand on a le souci d’avoir un équilibre personnel, etc. La liste aurait pu être plus longue mais vous n’aurez pas de mal à la compléter et réaliser la mesure de l’impact du relationnel dans les situations de la vie. 

Les sujets se situent dans le contexte professionnel où nous passons une bonne partie de notre vie. Vous transposerez facilement ces cas dans votre vie privée. Voyons le lien entre la chance et le relationnel grâce à la pratique de PCM® (Process Communication Model)

Influencer

Nous passons l’essentiel de notre temps à influencer notre entourage. Si nous savons baisser le stress des différents types d’interlocuteurs, nos chances de réussite augmentent. L’identification de la personnalité PCM que nous présente notre interlocuteur, donne l’avantage de connaître ses mécanismes de fonctionnement et ses motivations, ses interdits, sa manière de voir le monde.

Négocier

Plus encore que pour « influencer », les enjeux en cause d’une négociation développent le stress. Être champion en identification de stress et des antidotes respectifs est un atout de 1ère force. Parler à son interlocuteur de telle sorte qu’il perçoive que vous avez une manière de voir le monde qui lui convient vous met sur la même longueur d’onde. En favorisant le canal de communication qu’il entend le mieux, c’est changer la donne de confiance et créer les conditions de la négo pour jouer sur du velours.

Obtenir la coopération : 

Nous avons besoin que les autres coopèrent à nos entreprises, à nos projets, à nos missions pour augmenter nos chances de réussites. Savoir établir un niveau de confiance lève beaucoup de freins à la coopération. Cela crée les conditions idéales pour une coopération fructueuse.

Son hiérarchique

Le relationnel avec son hiérarchique est un facteur majeur, un critère de bien-être et de performance. Celui-ci a sa part de responsabilité mais le collaborateur, avec PCM peut agir sur la relation. Le hiérarchique a son importance dans notre destinée. Il procède à l’évaluation annuelle :  il estime si vous devez évoluer dans votre carrière ; si vos mérites justifient l’attribution d’une prime. Les pouvoirs qu’il exerce se basent sur des éléments objectifs comme les résultats chiffrés mais aussi sur des facteurs subjectifs. Il sera plus ou moins prédisposé à être favorable à votre égard si votre relationnel avec lui est fluide ; si vous vous comprenez du 1er coup ? s’il vous considère comme une personne avec qui il fait bon travailler, etc. On peut critiquer ces aspects subjectifs mais ils existent. Autant faire en sorte qu’ils nous favorisent.

Relationnel à distance

Que ce soit par téléphone, par visio, à distance une partie de l’efficacité relationnelle naturelle se dégrade. Nous sommes moins spontanés, il nous manque tout ou partie de la communication non verbale des interlocuteurs. La grille PCM offre de multiples critères de lecture qui complètent les pertes en ligne et rétablit un niveau relationnel propre à la coopération.

Relationnel par écrit

Par écrit la tendance générale, c’est d’être factuel, voir exclusivement factuel. La dimension relationnelle est oubliée, comme si elle n’était plus utile. C’est à l’origine de raidissements dans les échanges, d’interprétations malheureuses et de situations tendues dont on se passerait bien.

Sale tête

Nous avons tous des têtes qui ne nous reviennent pas. Et cependant dans nos vies associatives, nous avons fait l’expérience de finir par apprécier une personne dont la tête ne nous revenait pas aux premiers contacts. Avec la pratique de PCM nous décodons les comportements de nos interlocuteurs, leurs mécanismes. Cette vision offre un regard différent sur l’autre. Notre appréciation évolue jusqu’à apprécier cette personne que nous ne pouvions pas souffrir !!!

Ses réseaux

Tout le monde ne se fixe pas comme objectif d’élargir son réseau et de multiplier ses réseaux. C’est souvent faute de ne pas disposer d’un outil pour faciliter cette démarche relationnelle. C’est cependant un facteur de réussite et de chance. Les membres du réseau, c’est autant de personnes susceptibles de vous aider, de vous proposer une opportunité, d’être aussi de bonne compagnie, de vous mettre en lien avec des personnes que vous n’auriez jamais rencontrées.  

Adaptation

Notre capacité d’adaptation concerne de multiples situations différentes. Notre capacité de fonctionner avec un maximum de profils différents, de coopérer avec eux, d’obtenir le meilleur d’eux-mêmes sont autant d’atouts, et de facteurs de réussite et… de chance ! La réputation d’être adaptable est une qualité très appréciée.

Equilibre personnel

L’un des apports majeurs de PCM, c’est d’avoir attribué à chaque personnalité le ou les 2 besoins psychologiques, ce sont des antidotes du stress. La satisfaction de nos besoins psychologiques nous évite d’entrer en stress ou baisse son niveau. Le stress est toujours dommageable pour nous et notre environnement.  En se préoccupant de satisfaire nos besoins psychologiques, nous prenons soin de nous, nous sommes dans les meilleures dispositions pour apporter le meilleur de nous-mêmes à notre entourage, sans que cela nous coûte.

Les différentes situations montrent que la qualité du relationnel fait la différence et augmente nos chances de réussite. On a tous, à un moment donné été étonnés de la chance qui souriait à une personne de notre entourage. Quand on regarde bien, son relationnel avait quelque chose de remarquable, non ?

Avec le 3e livre sur PCM qu’Eyrolles édite, le lecteur se connaît encore mieux et dispose d’actions simples à mettre en œuvre. Il augmentera ses chances dans la vie, qu’elle soit dans le professionnel ou privée. C’est un privilège d’avoir écrit un livre sur un tel sujet.

Christian Becquereau

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