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« Résolvez vos difficultés relationnelles, en un instant »

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Tag: comportement
Soyez en phase dès la 1ère rencontre avec ou sans PCM

Lors de votre première rencontre avec une personne, vous avez remarqué qu’il y a des personnes avec lesquelles, vous êtes immédiatement en phase et d’autres avec lesquelles, ça ne le fait pas ??? Quand vous vous sentez en phase, votre interlocuteur se sent également en phase avec vous. C’est ce qui rend l’échange agréable et efficace. PCM (Process Communication Model) en donne une explication simple : vous et votre interlocuteur utilisez la même « porte de communication » ! Il n’est pas nécessaire d’être formé au modèle pour tirer bénéfice de ces Portes de communication. En adoptant la même porte que votre interlocuteur vous serez en phase dès la 1ère rencontre, comme s’il s’agissait d’un ami. C’est l’objet de cet article.

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Un bref historique des Portes de Communication

Dans les années 50 l’Analyse Transactionnelle proposait 3 portes de communication : la Pensée, l’Emotion et le Comportement. Les observations cliniques du Dr Paul Ware apporteront une finesse pertinente avec ses 3 portes de communication qu’il nommera Pensée, Emotion et Action. Avec son génie habituel Taibi Kahler en attribuera une à chacune des 6 personnalités Process Com. Chaque porte sera donc scindée en 2.

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Les portes de communication

Selon le Dr Paul Ware une porte va servir à émettre d’une certaine manière et à n’entendre que ce qui est du ressort de cette manière. Voyons comment vous pouvez repérer la porte utilisée par votre interlocuteur.

Les 2 portes de communication de la Pensée : l’une sera plutôt orientée sur des faits et l’autre plutôt sur des opinions. Les personnes dont la porte de communication est la pensée s’expriment de manière structurée. Beaucoup de leurs approches ont la forme d’une démonstration, logique, organisé, séquentielle pour aboutir soit pour apporter une conclusion, soit pour formuler une demande.

Les 2 portes de communication de l’Emotion : l’une sera plutôt orientée sur les sentiments et l’autre plutôt sur l’émotion spontanée. Les personnes dont la porte de communication est l’Emotion vont abuser du temps de conjugaison du conditionnel présent : ce serait…, il faudrait…, etc. Cela se repère à l’oreille !

Si elles empruntent la porte de l’Emotion plutôt orientée Sentiments elles vont privilégier des verbes comme j’aime, j’apprécie, je sens, je ressens, etc.

Si elles empruntent la porte de l’Emotion plutôt émotion spontanée, leurs phrases sont sur un ton qui à l’écrit mériterait un point d’exclamation ! Leur relation est légère, rien n’est jamais grave. Elles dédramatisent tout. Elles aiment les plaisanteries. Leur rire est sonore.

Les 2 portes de communication de l’Action : l’une sera plutôt orientée sur le mouvement (le faire), et l’autre plutôt sur la réflexion (que dois-je faire ?). Les personnes dont la porte de communication est l’Action vont être directive. Pour cela elles vont privilégier les temps de conjugaisons de l’impératif « fais ceci » ou le futur « tu feras cela » ou elles diront « il faut ». Elles privilégient l’action. Cela se repère par leur usage des verbes d’action. Le verbe « faire » étant leur favori.

Si elles empruntent la porte de l’Action plutôt orientée sur le mouvement, le faire, elles auront tendance à se mettre en avant.

Si elles empruntent la porte de l’Action plutôt orientée sur la réflexion, elles auront tendance à se mettre en retrait.

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Que faire avec les portes de la Pensée ?

A la 1ère rencontre avec votre interlocuteur vous entendez qu’il est dans une porte de la pensée. Ses propos sont structurés et aboutissent à une conclusion ou une demande. Si vous n’êtes pas d’accord avec son propos. Comment faire ? Le meilleur moyen consiste à reformuler ce qu’il a dit, par exemple « vous voulez dire que « reformulation ». Votre interlocuteur va être comblé d’avoir été compris. Il ne va pas se soucier de savoir si vous êtes d’accord ou pas. Vous avez évité le déraillement du relationnel en exprimant votre désaccord et vous n’avez pas dit que vous étiez d’accord. Cette technique est une application concrète d’un élément de Process Com (PCM)

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Que faire avec les portes de l’Emotion ?

A la 1ère expérience, la porte de communication de l’Emotion orientée sentiments est la plus facile à détecter. Souvenez-vous des 2 principaux indicateurs : les verbes de sentiments, j’aime, j’apprécie, je ressens, j’ai l’intuition que… etc. Dans ce cas, n’hésitez pas à partager votre vécu et à exprimer que vous appréciez sa présence ou votre échange. Bien sûr, ces déclarations sont à faire en toute sincérité.

Concernant la porte de l’émotion orientée émotion spontanée, ceux et celle qui sont dans cette porte sont du champagne. Leur présence en société est un bonheur. Ils apportent la légèreté et la joie. Leurs plaisanteries relancent toujours le niveau d’énergie du groupe. Ils sont faciles à détecter en groupe. En face à face, c’est un peu plus pointu. L’élément le plus caractéristique c’est qu’ils rient de manière sonore à ce qu’ils disent, que ce soit drôle ou pas. Si vous leur demandez leur disponibilité, ils commencent par vous détailler leur indisponibilité. Comment faire avec eux ? La clé, c’est d’être léger. Pour eux rien n’est vraiment grave. Avec très peu d’entraînement vous pouvez rire bruyamment de vos propos. C’est le regard porté sur eux qui change tout. Il est possible de les considérer comme insouciant ou pas sérieux ou vous pouvez les voir comme un cadeau de la vie. En considérant que rien n’est vraiment grave, c’est assez proche de la vérité.

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Que faire avec les portes de l’Action ?

Cette porte se repère par son côté directif. Si vous avez un côté analytique, vous entendrez l’usage du temps de conjugaison de l’impératif « fais ceci » ou du futur « tu feras cela » et sa tendance à mettre de la pression dans toute action « il faut ».

Selon que votre interlocuteur empruntera la porte de l’Action orientée mouvement, faire ou celle orientée réflexion, votre mode de relation ne sera pas le même.

La porte de l’Action orientée mouvement s’accompagne d’un charme (que vous prendrez peut-être pour de la séduction) ces personnes qui l’empruntent en imposent. Vis-à-vis d’elles, seules les actions comptent. Elles comptent d’autant plus qu’il y a soit une prise de risque ou une tentative de flirter avec une limite. Il faut éviter toute considération analytique, tout partage de doute ou d’émotion.

La porte de l’Action orientée réflexion est tout autant dans l’action, mais les personnes qui empruntent cette porte aiment jouer les absents et vivre en retrait. Leur relationnel est très apaisé. Ils sont peu loquaces et faibles en communication. Ils n’entendent que l’action. Bien qu’il leur soit difficile d’en faire la demande, ils attendent que leur soit dit quoi faire, y compris avec un certain niveau de détail. Ils sont bien quand on leur parle avec le temps de conjugaison à l’impératif ou au futur (directif).

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Expérimentation

Établir un relationnel de qualité dès une 1ère rencontre avec une personne peut changer une vie. Être en phase dès les premiers instants, c’est un moment d’humanité unique. C’est un bon moment à passer, cette personne peut devenir un ami, elle peut partager ses expériences, ses relations, ses projets, etc. La vie quoi !

A vous de jouer et de partager vos expérimentations, vos interrogations… nous serons heureux d’échanger avec vous.

Et n’oubliez pas de cliquer sur « like ».

Christian Becquereau assisté de Sylvie Nélaton

 

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J’m’en foutiste, un modèle !

Nous avons tous, dans notre environnement, deux frères ou deux sœurs dont l’un montre un côté studieux et obtient de très bons résultats dans ses études alors que l’autre est dilettante, perçu comme un je-m’en-foutiste. Ses classements scolaires sont désespérants. C’est presque toujours le second dont la réussite est flagrante dans la vie (!) Faut-il s’en fiche dans la vie pour mieux réussir ? En tous cas, ça vaut la peine de découvrir pourquoi le j’m’en foutiste a plus de chance de réussir dans la vie.

Une aisance relationnelle d’exception

Une chose est évidente le dilettante n’est pas prisonnier du côté académique des choses, du côté intellectuel, des organisations, des règles, des interdits.  C’est secondaire mais secondaire pour privilégier quoi ? Ce choix le rend disponible. Il a du temps pour les autres et une aisance relationnelle hors du commun.

En discussion, le j’m’en foutiste est à la fois dans l’échange tout en observant ce qui se passe dans la relation. C’est comme s’il était aussi spectateur du dialogue et du comportement de l’autre. Cette particularité le prédispose à avoir un relationnel d’exception. Est-ce suffisant ?

Depuis des dizaines d’années, les experts nous serinent que la réussite est due à 80% au relationnel et à 20% à l’expertise. Au début de ma carrière ces recommandations me contrariaient car je ne voyais pas comment m’y prendre. Le dilettante d’une manière instinctive abandonne l’idée d’être très bon dans tous les domaines mais s’il a les meilleures relations avec le plus grand nombre, il sait d’instinct qu’il fera la différence.

Un fils j’m’en foutiste

Je connais bien la maman d’un jeune homme. Celle-ci se désespérait d’avoir un fils qui ne faisait aucun effort dans ses études. Ses profs s’arrachaient les cheveux, elle aussi. Rien ne motivait son garçon. Ayant la confiance de la maman, je ne cessais de lui répéter qu’elle ne devait se faire aucun souci car il réussirait. Cette intuition se basait sur son aisance relationnelle. Arrivé en âge de flirter, il s’est amouraché d’une 1ère de classe. Pour ne pas être en reste, il s’est mis à cravacher et a décroché son bac du 1er coup alors que personne n’aurait parier sur cette prouesse

Le relationnel joue en faveur ou en défaveur de toutes les étapes de la vie ; qu’il s’agisse de trouver un job ou d’avoir une promotion ou d’obtenir la coopération de quelqu’un, d’établir la confiance avec son manager ou de décrocher une commande si on est commercial. C’est aussi, la capacité d’établir d’emblée un relationnel tel que l’autre a envie de nous avoir comme ami, y compris à l’occasion d’une rencontre fortuite. Le relationnel joue dans tous les secteurs de la vie.

Par contre le j’m’en foutiste n’a pas nécessairement la compétence de résoudre un différend, d’éteindre un conflit ou de débloquer une situation. Tout talentueux qu’il soit, lui aussi a des savoir-faire à acquérir. Mais son don relationnel peut être un handicap s’il a la sensation de n’avoir de problème avec qui que ce soit. Alors il fera l’impasse de se perfectionner dans le domaine relationnel.

Acquérir le talent du j’m’enfoutiste

Si vous n’avez qu’un relationnel normal, faite comme ce jeune, cravachez pour être à son niveau relationnel et faites la différence dans tous les secteurs de votre vie. C’est possible à 3 conditions : 1/ devenir bon praticien de PCM (Process Communication Model) mais le niveau « communication » s’il est indispensable, n’est pas suffisant. 2/ il faut acquérir le niveau relationnel avec le plus grand nombre. Pour cela il faut 3/ un outil pour faire ce que fait naturellement le j’m’en foutiste : être dans l’échange et aussi en mode méta, c’est-à-dire spectateur de ce qui se passe dans la relation.

La découverte de l’outil d’identification

C’était mon 1er atelier PCM, fin 1997. Un de mes clients Daniel, directeur commercial, trouvait que sa relation avec son DG était curieuse et elle n’était pas idéale. Les participants avaient tous suivi une formation PCM avec un excellent formateur. Bien qu’ils aient tout compris, ils ne savaient pas utiliser le modèle dans leur vie courante. J’ai demandé à ce directeur commercial de me restituer les dialogues qu’il avait en mémoire. Une fois transcrits au paper board, tous les éléments PCM sautaient aux yeux : son DG n’utilisait que l’impératif (canal directif), il abusait de son prénom, tout était dans l’action, dans le « ya qu’à faut qu’on » du style autocratique. Les portes de communication de la pensée et de l’émotion étaient aux abonnés absents. La personnalité que lui présentait son dg, c’était : Promoteur. Ce fut ce que j’ai nommé mon 1er verbatim. Avec cette expérience j’ai découvert l’éclairage qu’offrait l’écriture des dialogues (verbatim) d’un interlocuteur avec qui nous voulons améliorer la relation.

Faites l’expérimentation

Faites l’essai suivant, de mémoire transcrivez 5 phrases d’un interlocuteur avec qui vous voulez un meilleur relationnel. Vous découvrirez le maximum d’éléments PCM. Vous allez identifier la personnalité de votre interlocuteur avec une grande évidence. La marge d’erreur s’en trouve considérablement réduite. C’est un facteur de succès dans la pratique de PCM. Votre pratique de PCM va faire un bond de géant, vous allez vous approcher du talent du j’m’en foutiste.

Si vous avez suivi notre formation « PCM mis en pratique » vous avez, en plus de PCM, les clés « process-relationnel », ce sera plus facile et plus efficace. Mais soyez rassuré au bout de plusieurs dialogues retranscrits (verbatim) vous serez à l’aise avec l’outil. Une fois l’identification faîte, bâtissez 3 ou 4 phrases PCM correspondantes à la personnalité de votre interlocuteur.

Etablir un relationnel magique

A votre prochaine rencontre avec votre interlocuteur vous serez dans une situation similaire au j’m’en foutiste, d’un niveau relationnel d’exception. Vous serez à la fois dans l’échange et prêt à agir, inspiré par les phrases préparées. Vous serez bluffé par l’immédiateté de l’efficacité de la mise en pratique de PCM. C’est ce que je vous souhaite

Christian Becquereau

PS : prochainement : publication de notre 3e livre chez Eyrolles.

« Lâchez les comportements qui vous jouent des tours »
(Process Communication en développement personnel)

« Rien ne remplace le relationnel »

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Comment les autres vous voient-ils ?

Il est probable que vous ne connaissiez pas l’image que vous attribue votre entourage. Ces images ont des conséquences bénéfiques ou désastreuses, ça dépend… Comme vous les ignorez, vous ne menez aucune action pour les prendre en considération. La qualité de votre vie se retrouve ballotée comme si vous la jouiez à la roulette russe.

Votre chance

Quelquefois il vous arrive de vous dire : « sur ce coup-là je n’ai pas eu de chance ! » ou bien « ce n’est pas juste, cela aurait dû m’être attribué » ou « qu’est-ce qui a bien pu jouer en ma défaveur ? ». La chance ou la malchance ont peu de chose à voir dans la plupart de ces situations, il faut plutôt chercher du côté de l’image véhiculée sur vous et qui vous a joué un vilain tour. Celle-ci n’a pas été créée de toutes pièces ; vos attitudes ou vos comportements ont été interprétés. Faute de savoir quelle action mener pour changer l’effet pervers généré par ces images, chacun est condamné à subir leurs effets toute sa vie.

Votre image

Bien sûr, il est possible de poser la question à un proche de confiance : « peux-tu me dire quelle image j’ai auprès des gens de mon environnement ? Que disent-ils de moi ? ». Comme il s’agit de quelqu’un qui vous veut du bien, son retour sera sympathique, en excluant les informations qui pourraient trop vous impacter. C’est normal, vos amis n’ont pas envie de vous blesser. Même si le retour approche la réalité, celle-ci est édulcorée pour être moins violente à votre égard. Il en résulte que vous ne disposez pas de l’information qui vous serait si utile.

Les réputations

Vous avez tous entendu ces réputations collées aux gens :

  • Ah ! celui là quand on n’a besoin de rien, on est servi tout de suite.

  • Lui ? il est imprévisible.

  • Untel est un besogneux.

  • Celui-là il ne pense qu’à sa pomme.

  • Quant à lui, il est aux abonnés absents.

  • C’est un inconséquent.

Les personnes affublées de la sorte n’en savent rien et n’en sauront jamais rien de toute leur vie. Un collaborateur a-t-il dit à son manager qu’avec lui il avait la sensation de ne pas grandir ? Non, bien sûr. Qui viendrait annoncer ces images négatives ? Et cependant vous imaginez tout de suite les conséquences provoquées par ces images sur le quotidien de ces personnes. Cette condamnation à perpétuité n’est pas acceptable.

Ces réputations sont-elles justifiées ? En partie oui car elles partent d’observations et en partie non car ce sont des interprétations. Mais l’image se répand, sans que l’intéressé n’en sache rien. Enrayer ce processus, revient à mettre davantage la chance de son côté. C’est ce que propose notre 3ème livre consacré au développement personnel avec PCM® (Process Communication Model) « Lâchez les comportements qui vous jouent des tours » chez Eyrolles.

En plus de 20 ans de coaching et plus de 10.000 heures en séances, Sylvie et moi avons utilisé PCM. A partir des pistes trouvées, nos clients ont expérimenté l’efficacité des actions préconisées. Cette base de connaissance a servi de matière à la conception de ce livre. En coaching de managers on est vite confronté à des situations où l’image du client a joué un rôle. La plupart du temps, le coaché n’a pas mesuré l’importance de la réputation qui lui est faite, et ne s’en préoccupait donc pas. Grâce à la grille de lecture du PCM, le coach et le coaché qualifient l’image probable que celui-ci génère. En reconstituant des brides d’éléments, le coaché confortent l’identification.

70% du temps en stress

Taibi Kahler, le concepteur de PCM, précise que selon les situations, nous sommes en 1er degré de stress environ 70% du temps. Bien que les comportements de ce 1er degré de stress soient assez discrets, il faut tenir compte qu’ils occupent 70% du temps. Les autres en déduisent que ce comportement sous stress fait partie de notre personnalité. A partir de leur interprétation les images se façonnent. Ces petits travers confortent celle qui vous est accolée.

PCM a déterminé qu’en chacun de nous, nous avons 6 personnalités. Certaines de ces personnalités sont plus actives que d’autres. Ce sont elles dont le 1er degré de stress est la source des images qui nous poursuivent. Nos expériences en coaching et notre démarche en Recherche et Développement nous ont fait découvrir celles que chaque personnalité avait beaucoup de probabilités de se voir attribuer.

Dans ce livre, pour chaque personnalité 7 situations, où ces 1ers degrés de stress s’expriment, sont décrites. On y voit leurs effets pervers et l’image que les intéressés subissent. Le lecteur se reconnaissant dans ces effets indésirables, disposera de pistes d’actions suggérées faciles à mettre en œuvre. Elles ont pour but de casser les images négatives. Ce sont de petites actions car le plus souvent, rien que la prise de conscience s’avère suffisante pour que le comportement se corrige de lui-même. Le but est de ne plus alimenter ces images. Dans un 1er temps, elles perdront de leur puissance ; elles finiront par s’éteindre d’elles-mêmes. Cela reviendra à inviter la chance à être davantage à vos côtés.

Christian Becquereau

 

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