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Tag: charme
Protéger ses collaborateurs avec PCM®

Un usage original de Process Com®

« Protéger ses collaborateurs » voilà un sujet bien curieux, sauf que c’est un facteur de succès. Il est peu probable que dans les formations de management ce thème soit abordé. Or, ce n’est pas qu’un facteur de bien être, c’est aussi un facteur de performance, à la grande satisfaction du collaborateur. Et le manager y peut y contribuer.

La vie de salarié n’est pas toujours confortable. Certains quittent l’entreprise, d’autres limitent leur mal vécu par le biais du télétravail ou en se mettant en retrait, voire en profitant du système social.

Dans certains services le vécu qui prédomine, c’est l’insécurité. Ce n’est pas le moindre des messages des burn out. Or grâce à un usage particulier de Process Com, le manager peut changer la donne.

La Pyramide d’A. Maslow

La sécurité le 2ème besoin

Les travaux d’Abraham Maslow révèlent que le besoin de sécurité est le 2ème des 6 besoins des humains, après celui d’avoir un toit et de manger à sa faim. C’est dire l’importance de s’en préoccuper. Process Com (PCM) offre au manager une lecture de chaque collaborateur avec qui il va pouvoir personnaliser la protection. En effet, chacune des 6 Personnalités PCM que chacun a en soi, entretient une tendance comportementale spécifique qui génère une résultante d’insécurité.

Dans certaines entreprises le chefaillon de service peut faire régner une ambiance épouvantable. Chacun est mal, la méfiance est de rigueur. Les membres se sentent en insécurité et rabougrissent leurs potentiels ainsi que leur niveau d’engagement. Tout le monde est perdant. Heureusement la majorité des managers sont généreux par nature. Ce qui leur manque, c’est un outil qui satisfait ce besoin de sécurité de manière personnalisée.

 

Protéger ses collaborateurs

Chaque Personnalité vit avec un travers

Le besoin de se sentir en sécurité est l’indispensable sensation pour oser entreprendre, s’engager, prendre des initiatives, voire même des risques. Le manager peut participer à ce que le sentiment de sécurité soit vécu par ses collaborateurs. Il y arrivera en ayant une démarche de protectionnisme adressée à la Personnalité PCM que chaque collaborateur lui présente. Selon que votre collaborateur est principalement dans une Personnalité ou une autre, voici comment le sentiment de sécurité est mis en danger et comment susciter une transformation :

Persévérant (un travers) : Cette personnalité se butte sur des positions de principe et se fabrique des ennemis, les collectionne presque.

La manière de manager cette Personnalité pour qu’elle sache comment se protéger, c’est de lui indiquer que se fabriquer de ennemis est un facteur d’échec. Elle doit trouver un processus relationnel pour éviter cet effet. Ceux qui réussissent dans la vie ont beaucoup moins d’ennemis.

Analyseur (Travaillomane) (un travers) : Focalisée à produire un travail parfait, cette Personnalité considère inconsciemment le relationnel comme secondaire ce qui la prive de riches collaborations.

La manière de manager cette Personnalité pour qu’elle sache comment se protéger, c’est de lui indiquer qu’en se focalisant à produire un travail parfait, elle ne passe pas assez de temps au relationnel avec son entourage. Elle perd donc cette partie de la vie et se prive des ressources de son entourage qui l’aiderait volontiers dans sa réussite.

Empathique (un travers) : Pour donner le meilleur d’elle-même cette Personnalité a besoin de renforcer son niveau de confiance en soi.

La manière de manager cette Personnalité pour qu’elle sache comment se protéger, c’est de la féliciter plus qu’aucune autre et de veiller à ce qu’elle ne minimise pas ses réussites.

Imagineur (Rêveur) (un travers) : Sans qu’elle n’en laisse rien paraître, cette Personnalité a besoin de se sentir voulue par son entourage. Or, elle ne donne aucun signal grâce auquel son environnement pourrait deviner ce besoin, au contraire. Elle est vécue comme une personne solitaire.

La manière de manager cette Personnalité pour qu’elle sache comment se protéger, c’est de l’inviter à donner des signaux à son entourage pour indiquer qu’elle apprécie que sa présence soit souhaitée.

Promoteur (un travers) : Sous ses dehors de fonceur, cette Personnalité a besoin d’évoluer dans un environnement de charme. Il ne sélectionne que les interlocuteurs qui s’autorisent à mettre du charme dans leur relationnel.

La manière de manager cette Personnalité pour qu’elle sache comment se protéger, c’est d’attirer son attention quand elle a un comportement clanique. Dans ce cas tout un processus se met en place, apparemment gagnant au début mais qui termine mal. En incluant même ceux qui ne dégagent pas leur charme, elle se protège et bénéficie de leurs ressources exceptionnelles tant humaines que professionnelles.

Énergiseur (Rebelle) (un travers) : Cette Personnalité a besoin d’un environnement où elle peut exprimer sa spontanéité, de la manière la plus enjouée possible.

La manière de manager cette Personnalité pour qu’elle sache comment se protéger, c’est de la féliciter même si elle les qualifie de flatteries. Il faut l’inciter à réduire sa forme originale de se comporter ou de s’habiller pour éviter d’être considérée comme marginale ce qui est un facteur limitant en terme d’intégration.

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Le rôle du manager

Des collaborateurs plus performants

Le manager n’a pas toujours le choix de composer son équipe comme il l’entend. Il arrive qu’il récupère des collaborateurs moyens quelquefois même des « bras cassés ». Tout l’art du management c’est d’atteindre des performances avec tout ce beau monde. Il arrive qu’il doive faire avec un sous-effectif. Que chaque membre donne le meilleur de lui-même devient un impératif.

Le manager n’a pas le pouvoir de transformer ses collaborateurs mais il a le pouvoir de créer les conditions optimales propres à ce que ceux-ci expriment plus de leur potentiel et développent le niveau d’engagement maximal. Rendre l’environnement sécure est un procédé puissant.

En s’appuyant sur son expérience, son intuition, le manager sait comment s’y prendre. Dans notre atelier du J4 cette démarche est approfondie. Les yeux des managers brillent d’envie d’expérimenter ce processus.

Cet usage de Process Communication Model laisse apparaître des applications insoupçonnées de ce génial modèle qui ne finit pas de nous étonner.

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Notre dernier livre

« Lâchez les comportements qui vous jouent des tours »

Le sous-titre de notre dernier livre paru en juin 2022, c’est « Process Com en développement personnel ». Personnalité par Personnalité, sans même ne rien connaître de PCM le lecteur sait comment lâcher ses travers presque toujours inconscients ; autant de processus gagnants à disposition.

Christian Becquereau

Assisté de Sylvie Nélaton

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Soyez en phase dès la 1ère rencontre avec ou sans PCM

Lors de votre première rencontre avec une personne, vous avez remarqué qu’il y a des personnes avec lesquelles, vous êtes immédiatement en phase et d’autres avec lesquelles, ça ne le fait pas ??? Quand vous vous sentez en phase, votre interlocuteur se sent également en phase avec vous. C’est ce qui rend l’échange agréable et efficace. PCM (Process Communication Model) en donne une explication simple : vous et votre interlocuteur utilisez la même « porte de communication » ! Il n’est pas nécessaire d’être formé au modèle pour tirer bénéfice de ces Portes de communication. En adoptant la même porte que votre interlocuteur vous serez en phase dès la 1ère rencontre, comme s’il s’agissait d’un ami. C’est l’objet de cet article.

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Un bref historique des Portes de Communication

Dans les années 50 l’Analyse Transactionnelle proposait 3 portes de communication : la Pensée, l’Emotion et le Comportement. Les observations cliniques du Dr Paul Ware apporteront une finesse pertinente avec ses 3 portes de communication qu’il nommera Pensée, Emotion et Action. Avec son génie habituel Taibi Kahler en attribuera une à chacune des 6 personnalités Process Com. Chaque porte sera donc scindée en 2.

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Les portes de communication

Selon le Dr Paul Ware une porte va servir à émettre d’une certaine manière et à n’entendre que ce qui est du ressort de cette manière. Voyons comment vous pouvez repérer la porte utilisée par votre interlocuteur.

Les 2 portes de communication de la Pensée : l’une sera plutôt orientée sur des faits et l’autre plutôt sur des opinions. Les personnes dont la porte de communication est la pensée s’expriment de manière structurée. Beaucoup de leurs approches ont la forme d’une démonstration, logique, organisé, séquentielle pour aboutir soit pour apporter une conclusion, soit pour formuler une demande.

Les 2 portes de communication de l’Emotion : l’une sera plutôt orientée sur les sentiments et l’autre plutôt sur l’émotion spontanée. Les personnes dont la porte de communication est l’Emotion vont abuser du temps de conjugaison du conditionnel présent : ce serait…, il faudrait…, etc. Cela se repère à l’oreille !

Si elles empruntent la porte de l’Emotion plutôt orientée Sentiments elles vont privilégier des verbes comme j’aime, j’apprécie, je sens, je ressens, etc.

Si elles empruntent la porte de l’Emotion plutôt émotion spontanée, leurs phrases sont sur un ton qui à l’écrit mériterait un point d’exclamation ! Leur relation est légère, rien n’est jamais grave. Elles dédramatisent tout. Elles aiment les plaisanteries. Leur rire est sonore.

Les 2 portes de communication de l’Action : l’une sera plutôt orientée sur le mouvement (le faire), et l’autre plutôt sur la réflexion (que dois-je faire ?). Les personnes dont la porte de communication est l’Action vont être directive. Pour cela elles vont privilégier les temps de conjugaisons de l’impératif « fais ceci » ou le futur « tu feras cela » ou elles diront « il faut ». Elles privilégient l’action. Cela se repère par leur usage des verbes d’action. Le verbe « faire » étant leur favori.

Si elles empruntent la porte de l’Action plutôt orientée sur le mouvement, le faire, elles auront tendance à se mettre en avant.

Si elles empruntent la porte de l’Action plutôt orientée sur la réflexion, elles auront tendance à se mettre en retrait.

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Que faire avec les portes de la Pensée ?

A la 1ère rencontre avec votre interlocuteur vous entendez qu’il est dans une porte de la pensée. Ses propos sont structurés et aboutissent à une conclusion ou une demande. Si vous n’êtes pas d’accord avec son propos. Comment faire ? Le meilleur moyen consiste à reformuler ce qu’il a dit, par exemple « vous voulez dire que « reformulation ». Votre interlocuteur va être comblé d’avoir été compris. Il ne va pas se soucier de savoir si vous êtes d’accord ou pas. Vous avez évité le déraillement du relationnel en exprimant votre désaccord et vous n’avez pas dit que vous étiez d’accord. Cette technique est une application concrète d’un élément de Process Com (PCM)

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Que faire avec les portes de l’Emotion ?

A la 1ère expérience, la porte de communication de l’Emotion orientée sentiments est la plus facile à détecter. Souvenez-vous des 2 principaux indicateurs : les verbes de sentiments, j’aime, j’apprécie, je ressens, j’ai l’intuition que… etc. Dans ce cas, n’hésitez pas à partager votre vécu et à exprimer que vous appréciez sa présence ou votre échange. Bien sûr, ces déclarations sont à faire en toute sincérité.

Concernant la porte de l’émotion orientée émotion spontanée, ceux et celle qui sont dans cette porte sont du champagne. Leur présence en société est un bonheur. Ils apportent la légèreté et la joie. Leurs plaisanteries relancent toujours le niveau d’énergie du groupe. Ils sont faciles à détecter en groupe. En face à face, c’est un peu plus pointu. L’élément le plus caractéristique c’est qu’ils rient de manière sonore à ce qu’ils disent, que ce soit drôle ou pas. Si vous leur demandez leur disponibilité, ils commencent par vous détailler leur indisponibilité. Comment faire avec eux ? La clé, c’est d’être léger. Pour eux rien n’est vraiment grave. Avec très peu d’entraînement vous pouvez rire bruyamment de vos propos. C’est le regard porté sur eux qui change tout. Il est possible de les considérer comme insouciant ou pas sérieux ou vous pouvez les voir comme un cadeau de la vie. En considérant que rien n’est vraiment grave, c’est assez proche de la vérité.

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Que faire avec les portes de l’Action ?

Cette porte se repère par son côté directif. Si vous avez un côté analytique, vous entendrez l’usage du temps de conjugaison de l’impératif « fais ceci » ou du futur « tu feras cela » et sa tendance à mettre de la pression dans toute action « il faut ».

Selon que votre interlocuteur empruntera la porte de l’Action orientée mouvement, faire ou celle orientée réflexion, votre mode de relation ne sera pas le même.

La porte de l’Action orientée mouvement s’accompagne d’un charme (que vous prendrez peut-être pour de la séduction) ces personnes qui l’empruntent en imposent. Vis-à-vis d’elles, seules les actions comptent. Elles comptent d’autant plus qu’il y a soit une prise de risque ou une tentative de flirter avec une limite. Il faut éviter toute considération analytique, tout partage de doute ou d’émotion.

La porte de l’Action orientée réflexion est tout autant dans l’action, mais les personnes qui empruntent cette porte aiment jouer les absents et vivre en retrait. Leur relationnel est très apaisé. Ils sont peu loquaces et faibles en communication. Ils n’entendent que l’action. Bien qu’il leur soit difficile d’en faire la demande, ils attendent que leur soit dit quoi faire, y compris avec un certain niveau de détail. Ils sont bien quand on leur parle avec le temps de conjugaison à l’impératif ou au futur (directif).

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Expérimentation

Établir un relationnel de qualité dès une 1ère rencontre avec une personne peut changer une vie. Être en phase dès les premiers instants, c’est un moment d’humanité unique. C’est un bon moment à passer, cette personne peut devenir un ami, elle peut partager ses expériences, ses relations, ses projets, etc. La vie quoi !

A vous de jouer et de partager vos expérimentations, vos interrogations… nous serons heureux d’échanger avec vous.

Et n’oubliez pas de cliquer sur « like ».

Christian Becquereau assisté de Sylvie Nélaton

 

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Les femmes et PCM

Si vous êtes une femme et que vous ne connaissez PCM que de nom ou pas du tout, vous vous demandez ce que peut bien vous apporter de spécifique de pratiquer PCM (Process Communication Model) dans votre vie, qu’elle soit privée ou professionnelle ? PCM comme son nom l’indique est un modèle destiné à  améliorer sa communication.

Je suis loin d’être le seul homme à considérer les femmes comme étant plus talentueuses que nous, les hommes. Je suis Master Certified Coach et je coache depuis 1997. La plupart du temps les femmes managers représentaient 70 % de mes clients. Elles n’ont pas le complexe des hommes pour avoir un coach. Elles se disent qu’elles doivent faire leur place dans un environnement où le masculin a imprimé sa culture et ses a priori. Elles hésitent moins à faire appel à un coach car elles doivent acquérir d’autres modes de lecture et d’autres outils.

 

PCM apporte aux femmes

La pratique de PCM apporte plus encore aux femmes qu’aux hommes, parce que la pratique de PCM aide à être soi-même dans un environnement moins favorable. Les femmes qui pratiquent PCM ont l’avantage de savoir tout de suite ce qui coince quand une relation ne fonctionne pas très bien. Elles connaissent d’un seul coup les mécanismes comportementaux de leur interlocuteur, ses mécanismes motivationnels et sa vision du monde. Avec cette pratique elles balayent d’un revers de main le handicap de l’environnement et reprennent l’avantage.

 

Se protéger

Les femmes doivent apprendre à se protéger. Sans le décodage PCM instantané des situations et les techniques, elles risqueraient de se replier sur elles-mêmes. Or elles ont tous les atouts pour aller de l’avant. En connaissant les techniques de PCM, elles se sentent protégées car capables de gérer des situations difficiles ou complexes avec succès. Nous verrons quelques-unes de ces situations.

Il y a plus de femmes que d’hommes qui se sentent vulnérables ; c’est une sensation avec laquelle il ne fait pas bon vivre. Cela entame l’image que l’on a de soi et de son niveau de confiance en soi.

Là où l’homme passe en force, la femme avec l’outil PCM passera aussi mais dans son style avec ses atouts, en souplesse, avec habileté. C’est de cette manière que ses talents naturels vont se mettre au service de ses actions. Elle n’aura pas besoin de forcer son talent.

Dans un coaching récent ma cliente au téléphone m’explique l’objet du coaching « J’assure depuis des années un projet au niveau international. Mes équipes sont basées dans 3 pays : la France, la Roumanie et l’Inde. Tout le monde est enchanté. Mais le groupe vient d’embaucher une personne de l’extérieur et cet homme devient mon chef. Je le vis mal. Comment faire pour tirer mon épingle du jeu et pour que cela ne m’arrive plus ».

Elle a obtenu de bénéficier d’un coaching pour se faire une place avec ce parachuté !

 

Le charme, une clé

Les participantes tombent à la renverse dans nos formations quand nous partageons nos découvertes sur le charme. Chez la plupart d’entre-elles, c’est un interdit car elles laissent cela aux « allumeuses » ou quand elles ont elles-mêmes envie d’émoustiller (rire !). Cet interdit vient de la confusion entre le charme et la séduction. Dans nos livres nous sommes généreux sur ce sujet. La séduction porte une intention sur l’autre, ce qui n’est pas le cas du charme. Le charme est une disposition personnelle où l’on se sent bien avec quelqu’un sans avoir à le dire.

Quand je vois une femme qui ne s’autorise pas le charme, j’ai tout de suite de la compassion pour elle. J’ai envie de lui dire « vous n’imaginez pas tout ce que l’on rate dans sa vie à s’interdire à mettre du charme dans son relationnel. Dans nos ateliers, les femmes et les hommes apprennent à mettre du charme sur commande dans leur relationnel. Tout le monde a cette capacité. C’est juste une technique à appliquer.

 

Manipulée

Les femmes sont très fines à déceler les manipulations. Leur intuition les décèle vite mais elles sont tout aussi désemparées que les hommes. Comment gérer un interlocuteur qui nous manipule ? Comment réagir ? fuir ? Que faire pour que cela cesse instantanément tout en préservant la relation ?

Nous partons du principe qu’il faut maintenir cette relation. Ce n’est parce qu’un interlocuteur a tenté une manipulation que c’est un mauvais bougre qu’il faut l’éliminer de sa vie, de ses relations. Cependant il faut se protéger des manipulations.

PCM nous apprend que la manipulation est un 2nd de stress d’une personnalité. D’apprendre cela change tout. Ça veut dire que la personne qui manipule a un mal vécu et la manipulation est son échappatoire. La manipulation est la forme que prend son stress. A partir de là notre regard devient différent sur l’interlocuteur. Il ne s’agit pas de lui dire qu’il est surpris à mettre son doigt dans la confiture… ce qui compliquerait le relationnel… Voici une phrase qui illustre la technique du « Stop »

« Dis Germain, pas d’accord ». Les participants acquièrent les tenants et les aboutissants de la technique. Ils ont 2 surprises : celle que cela marche toujours et celle de constater que leur interlocuteur trouve cette phrase naturelle et continue sur un autre sujet, abandonnant sa manipulation.

La technique stoppe la manipulation instantanément et préserve la relation.

 

Process-relationnel®

Les techniques évoquées ci-dessus sont en complément de PCM le fruit de plus de 20 ans de notre R&D qui produit des techniques pour faciliter la pratique de ce modèle et gérer des situations en un éclair. C’est le cas du charme ou de stopper une manipulation, etc. Ces dizaines de techniques exclusives sont regroupées sous le label « process-relationnel® ». Pour partager nos avancées, avec mon associée Sylvie, nous avons créé un blog. Il s’agit de www.process-relationnel.com.

 

Le relationnel fait la différence

Si on se pose quelques instants, on réalise que dans toutes les situations de notre vie, en plus de nos talents respectifs, le relationnel fait la différence, que l’on soit chez un commerçant, au restaurant, avec son banquier, son propriétaire, dans toutes les situations où il y a matière à négocier. C’est aussi avec son manager, avec un collaborateur, avec les membres de notre famille, nos amis. Il est judicieux d’apprendre tout ce qui va rendre notre vie plus facile, plus agréable et augmenter nos chances. Quelle que soit la situation, connaître d’un seul coup le mécanisme de son interlocuteur, et savoir comment agir et même baisser son stress, les chances de succès augmentent considérablement. Ce serait dommage d’en faire l’impasse, non ?

Christian Becquereau

 

www.process-relationnel.com

« Rien ne remplace le relationnel »

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