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Tag: besoin psychologique
PCM® et la loi de Pareto

Pratiquer Process Com avec 20% du modèle

A la fin du 19e siècle Vilfredo Pareto effectue des études sociologiques. Il découvre que dans tous les pays qu’il étudie, il retrouve la même répartition : 80 % des richesses sont la propriété de 20% de la population. A partir de ses travaux, d’autres chercheurs comme George K Zipf et Joseph Moses Juran vont découvrir et démontrer que cette « Loi » de Pareto s’applique à tous les domaines, 20% des efforts produisent 80% des résultats obtenus.

Depuis 1997, notre R&D a pour objet de développer des techniques pour mettre en pratique Process Com plus facilement et avec plus d’efficacité.  La loi de Pareto nous a incité à poser un regard nouveau sur notre pédagogie pour transférer la pratique de Process Communication Model. Et si nous n’avions besoin que de 20% du Modèle pour obtenir 80% des résultats ?

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De la communication au relationnel

De 80/20 à Process-Relationnel®

Depuis début 2000 nos travaux ont eu pour but de dépasser la communication qui comme son nom l’indique est l’objectif de Process Communication Model. Avec ce modèle nous avons décidé de viser le relationnel. Il s’agissait pour le praticien d’acquérir ou de développer son relationnel, cet extraordinaire atout qui change une vie. Il suffit d’observer ceux qui ont un relationnel d’exception pour constater que c’est un atout tant de réussite que de bien être dans la vie. Offrir cet atout à chacun motive notre démarche de R&D depuis le début.

Passer de la communication au relationnel exige de disposer d’outils utilisables en plein échange avec nos interlocuteurs. C’est là où la démarche 80/20 prend tout son intérêt.

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La richesse de Process Communication Model®

PCM un modèle très complet

Avec générosité, Taibi Kahler a mis dans son modèle toutes ses découvertes : ses modélisations de l’Analyse Transactionnelle, les travaux de Paul Ware, ses observations cliniques, ce qui a trait au scénario de vie, etc. C’est très bien pour les psy. Mais pour le praticien de tous les jours, c’est trop. L’apprenti finit par imaginer à tort que Process Com est complexe. Dans ce dédale d’éléments, aussi pertinents soient-ils, le participant se croit obligé d’utiliser au moins 80% des éléments du Modèle et pourtant il n’obtiendra que 20% de résultats.

Le côté « Mécano » de PCM donne du confort en termes d’apprentissage sur la partie découverte de soi-même. Quand il s’agit de passer de la communication au relationnel, le point de passage qu’il ne faut pas louper, c’est d’identifier celle des 6 personnalités que nous présente notre interlocuteur… et là, le côté Mécano se perd. Or, l’identification est le point incontournable pour réussir en relationnel. Le praticien a besoin de ce côté Mécano pour visez le « zéro erreur » dans l’identification de la Personnalité PCM qui nous gêne chez notre interlocuteur.

Si les erreurs sont au rdv, le découragement vient vite. Pour garder le bénéfice de la pratique toute sa vie il faut obtenir des résultats flagrants dès les premiers essais. C’est là où il faut cibler les 20% nécessaires à la réussite de la mise en pratique de Process Com.

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Les 20% de PCM

Ce qui est nécessaire pour le relationnel

La puissance de PCM est atteinte lorsqu’on est capable, lors d’un échange de baisser le stress de notre interlocuteur et de rétablir le relationnel. Pour réussir cette opération unique il ne faut maîtriser que 2 choses : identifier celle des 6 personnalités qui nous gêne chez l’autre et savoir construire une phrase PCM capable d’agir sur le stress de l’autre.

La construction d’une phrase qui peut baisser le stress est composée de la satisfaction du besoin psychologique, de la perception du monde et du canal de communication. C’est tout. Par exemple « Est-ce que j’ai bien compris ton point de vue si je dis que… bla bla ? ». Cette phrase satisfait le besoin psychologique de la reconnaissance de l’opinion ; cette phrase utilise le canal interrogatif « est-ce que » et elle est dans la perception du monde des opinions. Elle a toutes les chances de baisser le stress de l’interlocuteur. (ici Persévérant)

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Identification de la Personnalité PCM

Le zéro erreur dans l’identification est atteignable

Pour cibler celle des 6 Personnalités qui nous gêne, nous disposons des positions de vie au 2ème et 1er degré de stress. Nous avons cherché des outils complémentaires qui soient dans la logique Mécano du modèle PCM. Nos travaux ont développé deux outils :

  • La dichotomie des 6 personnalités avec une seule question « est-ce que l’interlocuteur Cherche à Entrer en Relation (CER) ou Entre en Relation essentiellement Quand (ERQ) ? La réponse CER qualifie les Personnalité Persévérant, Analyseur, Empathique. La réponse ERQ qualifie les Personnalités Imagineur, Promoteur et Énergiseur.
  • L’usage des Portes de communication, celle de la pensée, celle de l’émotion et celle de l’action.

L’outil CER/ERQ évite les confusions d’identification.

L’utilisation de ces 2 outils et des positions de vie visent le « zéro erreur d’identification », clé de la réussite.

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Le premier essai 80/20

Notre 1er essai de la loi de Pareto

En 1997 je missionne un ami formateur certifié de faire une formation de 2 jours auprès de clients dont j’étais le coach. Le cahier des charges que je lui donne est simple retirer ce qui n’est pas utilisé dans la mise en pratique :

  • Les scénarios de vie et les questions existentielles
  • Les caractéristiques au niveau des faciès, de l’environnement de chaque Personnalité
  • Les pourcentages de répartition des différentes personnalités entre les hommes et les femmes

Je ne connaissais pas encore la Loi de Pareto. Malgré ce coup d’essai certains clients ne savaient toujours pas mettre en pratique PCM pour en tirer tous les bénéfices sur le plan du relationnel. Ce fut l’occasion pour moi d’organiser mon 1er atelier de mise en pratique.

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Process Communication Model en développement personnel

Notre 3ème livre présente un abrégé de PCM

Notre 3ème livre « lâchez les comportements qui vous jouent des tours » est écrit pour un large public, y compris les lecteurs qui ne connaissent pas PCM. Pour ceux-ci le livre se termine par un abrégé du modèle où il est tenu compte d’une grande partie de la loi de Pareto 80/20.

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La pédagogie PCM

Ceux qui savent pratiquer, pratiquent toute leur vie

La construction d’une formation PCM prenant en compte la Loi de Pareto change la donne. Le temps consacré à la mise en pratique et aux exercices, tant individuels qu’en groupes, prend une place importante à la grande satisfaction des participants qui quittent la formation en sachant pratiquer. Notre mission c’est que les participants rendent leur vie plus agréable avec un relationnel idéal dans leur vie privée, professionnelle et sociale grâce à la pratique de PCM tout au long de leur vie. Avec le 80/20 nous nous sommes rapprochés encore plus de notre mission.

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Le principe 80/20 – historique

De 80/20 à 99/1

Richard Koch dans son best-seller « le principe 80/20 » démontre que dans certains cas, c’est du 90/10 voire du 99/1. Ça veut dire que rien n’est acquis et que notre R&D se poursuit.

Obtenir le maximum de résultat tout de suite avec le minimum d’effort dans la mise en pratique, c’est ce qui nous motive et nous guide dans nos R&D.  Aller jusqu’au bénéfice relationnel de PCM influe sur la réussite de sa vie et la rend plus agréable. Cet enjeu vaut la peine de voir comment tirer profit de ce modèle avec le minimum d’effort. N’oublions pas l’appellation de George K Zipf « la loi du moindre effort » – intelligent, non ?

Christian Becquereau

Assisté de Sylvie Nélaton

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J’m’en foutiste, un modèle !

Nous avons tous, dans notre environnement, deux frères ou deux sœurs dont l’un montre un côté studieux et obtient de très bons résultats dans ses études alors que l’autre est dilettante, perçu comme un je-m’en-foutiste. Ses classements scolaires sont désespérants. C’est presque toujours le second dont la réussite est flagrante dans la vie (!) Faut-il s’en fiche dans la vie pour mieux réussir ? En tous cas, ça vaut la peine de découvrir pourquoi le j’m’en foutiste a plus de chance de réussir dans la vie.

Une aisance relationnelle d’exception

Une chose est évidente le dilettante n’est pas prisonnier du côté académique des choses, du côté intellectuel, des organisations, des règles, des interdits.  C’est secondaire mais secondaire pour privilégier quoi ? Ce choix le rend disponible. Il a du temps pour les autres et une aisance relationnelle hors du commun.

En discussion, le j’m’en foutiste est à la fois dans l’échange tout en observant ce qui se passe dans la relation. C’est comme s’il était aussi spectateur du dialogue et du comportement de l’autre. Cette particularité le prédispose à avoir un relationnel d’exception. Est-ce suffisant ?

Depuis des dizaines d’années, les experts nous serinent que la réussite est due à 80% au relationnel et à 20% à l’expertise. Au début de ma carrière ces recommandations me contrariaient car je ne voyais pas comment m’y prendre. Le dilettante d’une manière instinctive abandonne l’idée d’être très bon dans tous les domaines mais s’il a les meilleures relations avec le plus grand nombre, il sait d’instinct qu’il fera la différence.

Un fils j’m’en foutiste

Je connais bien la maman d’un jeune homme. Celle-ci se désespérait d’avoir un fils qui ne faisait aucun effort dans ses études. Ses profs s’arrachaient les cheveux, elle aussi. Rien ne motivait son garçon. Ayant la confiance de la maman, je ne cessais de lui répéter qu’elle ne devait se faire aucun souci car il réussirait. Cette intuition se basait sur son aisance relationnelle. Arrivé en âge de flirter, il s’est amouraché d’une 1ère de classe. Pour ne pas être en reste, il s’est mis à cravacher et a décroché son bac du 1er coup alors que personne n’aurait parier sur cette prouesse

Le relationnel joue en faveur ou en défaveur de toutes les étapes de la vie ; qu’il s’agisse de trouver un job ou d’avoir une promotion ou d’obtenir la coopération de quelqu’un, d’établir la confiance avec son manager ou de décrocher une commande si on est commercial. C’est aussi, la capacité d’établir d’emblée un relationnel tel que l’autre a envie de nous avoir comme ami, y compris à l’occasion d’une rencontre fortuite. Le relationnel joue dans tous les secteurs de la vie.

Par contre le j’m’en foutiste n’a pas nécessairement la compétence de résoudre un différend, d’éteindre un conflit ou de débloquer une situation. Tout talentueux qu’il soit, lui aussi a des savoir-faire à acquérir. Mais son don relationnel peut être un handicap s’il a la sensation de n’avoir de problème avec qui que ce soit. Alors il fera l’impasse de se perfectionner dans le domaine relationnel.

Acquérir le talent du j’m’enfoutiste

Si vous n’avez qu’un relationnel normal, faite comme ce jeune, cravachez pour être à son niveau relationnel et faites la différence dans tous les secteurs de votre vie. C’est possible à 3 conditions : 1/ devenir bon praticien de PCM (Process Communication Model) mais le niveau « communication » s’il est indispensable, n’est pas suffisant. 2/ il faut acquérir le niveau relationnel avec le plus grand nombre. Pour cela il faut 3/ un outil pour faire ce que fait naturellement le j’m’en foutiste : être dans l’échange et aussi en mode méta, c’est-à-dire spectateur de ce qui se passe dans la relation.

La découverte de l’outil d’identification

C’était mon 1er atelier PCM, fin 1997. Un de mes clients Daniel, directeur commercial, trouvait que sa relation avec son DG était curieuse et elle n’était pas idéale. Les participants avaient tous suivi une formation PCM avec un excellent formateur. Bien qu’ils aient tout compris, ils ne savaient pas utiliser le modèle dans leur vie courante. J’ai demandé à ce directeur commercial de me restituer les dialogues qu’il avait en mémoire. Une fois transcrits au paper board, tous les éléments PCM sautaient aux yeux : son DG n’utilisait que l’impératif (canal directif), il abusait de son prénom, tout était dans l’action, dans le « ya qu’à faut qu’on » du style autocratique. Les portes de communication de la pensée et de l’émotion étaient aux abonnés absents. La personnalité que lui présentait son dg, c’était : Promoteur. Ce fut ce que j’ai nommé mon 1er verbatim. Avec cette expérience j’ai découvert l’éclairage qu’offrait l’écriture des dialogues (verbatim) d’un interlocuteur avec qui nous voulons améliorer la relation.

Faites l’expérimentation

Faites l’essai suivant, de mémoire transcrivez 5 phrases d’un interlocuteur avec qui vous voulez un meilleur relationnel. Vous découvrirez le maximum d’éléments PCM. Vous allez identifier la personnalité de votre interlocuteur avec une grande évidence. La marge d’erreur s’en trouve considérablement réduite. C’est un facteur de succès dans la pratique de PCM. Votre pratique de PCM va faire un bond de géant, vous allez vous approcher du talent du j’m’en foutiste.

Si vous avez suivi notre formation « PCM mis en pratique » vous avez, en plus de PCM, les clés « process-relationnel », ce sera plus facile et plus efficace. Mais soyez rassuré au bout de plusieurs dialogues retranscrits (verbatim) vous serez à l’aise avec l’outil. Une fois l’identification faîte, bâtissez 3 ou 4 phrases PCM correspondantes à la personnalité de votre interlocuteur.

Etablir un relationnel magique

A votre prochaine rencontre avec votre interlocuteur vous serez dans une situation similaire au j’m’en foutiste, d’un niveau relationnel d’exception. Vous serez à la fois dans l’échange et prêt à agir, inspiré par les phrases préparées. Vous serez bluffé par l’immédiateté de l’efficacité de la mise en pratique de PCM. C’est ce que je vous souhaite

Christian Becquereau

PS : prochainement : publication de notre 3e livre chez Eyrolles.

« Lâchez les comportements qui vous jouent des tours »
(Process Communication en développement personnel)

« Rien ne remplace le relationnel »

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